Cela a été fait de façon idéologique, pour diminuer les dépenses de santé en diminuant le nombre de prescripteurs. Nous essayons, de façon pragmatique, de corriger vos erreurs, et je ne comprends pas votre acharnement actuel.
Nous avons doublé le nombre de médecins formés chaque année, en passant de 3 500 à 7 000 en huit ans. Cela a posé, du reste, divers problèmes aux facultés, et je remercie le Gouvernement de les avoir résolus, par exemple en accroissant les surfaces destinées aux salles de cours.
Il y a un malaise, un problème de répartition, de permanence de soins. Mais, de grâce, cessez de nous considérer comme fautifs, alors que nous essayons simplement de restaurer ce que vous avez démonté depuis quinze ans. (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP. – Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
(L'amendement n° 50 n'est pas adopté.)