La diminution de la pratique cultuelle dans l'armée est la même que dans le reste de la société française. Autrement dit, l'investissement communautaire est moindre. Cependant, les religions ne sont pas les seules à être atteintes par la diminution des pratiques communautaires au profit des intérêts personnels. Cette évolution justifie l'existence de lieux de culte ou de pause où il est possible de venir prier de manière anonyme. En parallèle, nos aumôniers constatent un intérêt nouveau pour le fait religieux. Chaque année, 40 à 60 militaires se font baptiser.