Moins d'un pour mille pour chaque officine. Ce montant est à distinguer de celui de la fraude, plus de 60 % de ces indus étant attribuables à des problèmes d'ouverture de droits, notamment au niveau de l'assurance complémentaire : il s'agit souvent de personnes qui ont changé de mutuelle. Ce n'est donc pas une question de fraude. Les 40 % restant constituent une perte sèche pour le pharmacien, qu'il s'agisse de nomades pharmaceutiques ou de spécialistes de la fraude. Le problème, c'est qu'on continue à ouvrir des droits au bénéfice de fraudeurs notoires.