Une ordonnance a renforcé le monopole des vétérinaires, compliquant l'exercice libéral des professions paravétérinaires au point d'obliger quasiment les ostéopathes animaliers, les dentistes équins et ceux qui soignent les chevaux au quotidien à se salarier. Mon amendement vise seulement à considérer ces professions comme des exceptions à l'ordonnance du 20 janvier 2011, de sorte qu'elles puissent continuer à dispenser des soins qui ne sont pas des actes vétérinaires stricto sensu.