Bien entendu, nous ne nions pas, madame la secrétaire d'État, la nécessité de restructurations dans les hôpitaux, notamment en raison des considérables retards pris en matière d'investissements.
Cependant, vous ne répondez pas à la question, fondamentale que je vous ai posée : comment mener ces restructurations et reconcentrations alors que des milliers d'emplois sont aujourd'hui supprimés ? Il est de plus en plus difficile, pour les patients, de se faire soigner et, pour les médecins et les infirmières, de travailler. C'est à cette question précise de l'emploi que vous n'avez pas répondu.