Tout à fait, monsieur Dosière.
Pour terminer, je ne voudrais pas qu'à cause d'un petit groupe qui, à un moment donné, s'est retrouvé à la tête de la Polynésie, nous en venions à causer du tort à l'ensemble des Polynésiens. Ils ont besoin de notre soutien, vu la précarité dans laquelle ils vivent. Il faut éviter les amalgames. C'est dans ce sens que j'entends aborder avec vous cette proposition de loi.