Écoutez-les, monsieur le rapporteur. Vous les avez reçus, je crois : ils vous ont dit que la prévention reste le meilleur moyen d'éviter le pire. Mais pour cela, il faut des moyens, et ces moyens sont aujourd'hui insuffisants et mal répartis sur le territoire.
Ce projet de loi – comme beaucoup d'autres depuis 2007 – répond de manière démagogique à quelques drames médiatisés. Il ne répond en rien à l'attente des acteurs, alors qu'une vraie politique de la santé mentale serait nécessaire : il sera très rapidement indispensable de revenir sur ce sujet. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)