C'est une question de survie : il faudra trouver les modalités acceptables pour remplir nos obligations d'offsets. Nous y sommes parvenus en Grèce, où nous avons satisfait 95 % des conditions. Aux Émirats, ce sera plus compliqué, dans la mesure où ils ne veulent plus qu'on investisse dans l'hôtellerie ou dans les fermes aquatiques mais dans notre secteur – la construction mécanique – et exigent qu'on emploie de la main-d'oeuvre émiratie.