Cette disposition proposée au Parlement ne prive les personnes ni du droit à demander l'asile ni de celui à obtenir une protection. Elle se limite à aménager les modalités procédurales d'examen de leur demande d'asile, en les soumettant à la procédure prioritaire lorsqu'elles refusent de donner la moindre indication sur leur identité ou altèrent, par exemple, leurs empreintes digitales.
Le Gouvernement est défavorable à cet amendement
(L'amendement n° 184 n'est pas adopté.)