On l'a vu depuis l'examen de l'article 2 : vous n'avez eu de cesse de renforcer le caractère dur, répressif, de ce texte, et vous continuerez jusqu'à la fin de nos débats. Fort heureusement, il y a quelquefois des éclaircies, comme la suppression de l'article 3 bis, dont je me félicite.