Je tiens à le dire clairement, parce que cette profession est souvent montrée du doigt. Nous rencontrons de plus, aujourd'hui, de difficultés en termes d'emplois qui n'ont rien à voir avec le sujet de la santé publique. Je m'exprime, ici, en tant que ministre de la santé et non en tant que ministre du travail et de l'emploi. Je ne rencontre aucun problème de dédoublement de la personnalité. En 2004, dans le texte que j'ai porté avec Philippe Douste-Blazy, nous avions déjà pris des mesures sur la visite médicale. Une charte a été mise en place. Avant même que vous ne continuiez à hocher la tête, madame Lemorton…