Il faut permettre aux pharmaciens d'être membres de sociétés interprofessionnelles de soins ambulatoires. Or aujourd'hui le texte examiné au Sénat les en exclut pour des raisons fiscales.
Enfin, il faut favoriser les regroupements par transfert d'officines pour rationaliser le réseau.
Monsieur le ministre, madame la secrétaire d'État, l'année 2011 ne doit pas être une année blanche pour les officines de pharmacie et surtout pas pour les quatre millions de patients qui entrent tous les jours dans une pharmacie. Ils ne peuvent plus attendre, parce que le médicament n'est pas un produit comme un autre et que notre pays dispose d'un réseau de dispensation très performant.