Je serai donc très bref pour dire qu'à mes yeux, la grande question posée est celle de savoir quel service de coordination il faut mettre en place.
Vous avez parlé, madame la ministre, de structures publiques. Peut-être un service public ? En tout cas, je pense qu'il ne faut pas avoir peur, dans ce domaine, de parler de service public. Nous devons pouvoir créer les conditions nous permettant de vivre avec les risques en connaissance de cause. On ne doit pas en faire un handicap. Au contraire, dès lors que l'on a la capacité de les maîtriser, cela peut devenir un atout pour nos territoires. (Applaudissements sur tous les bancs).