Je confirme ce que j'ai dit devant la commission des affaires étrangères, lorsqu'elle a bien voulu me recevoir : en 2010, la part du bilatéral était à 55 %. Nous entendons la porter à 65 % d'ici à 2013. Cela passe par une hausse des subventions, une augmentation des bonifications et une nouvelle clé de répartition au niveau européen.
Monsieur Hunault, vous avez absolument raison : nous devons tout faire pour lutter contre la corruption, qui est un véritable cancer qui ronge de nombreux pays. Cette semaine, se tient à Paris la conférence de l'Initiative pour la transparence dans les industries extractives, que j'irai moi-même clôturer demain. Cet exemple montre que nous sommes actifs.
J'arrive à ma conclusion, mesdames, messieurs les députés, en m'excusant d'avoir abusé de votre patience, voire de votre impatience.