Monsieur le député, c'est une question qui mobilise beaucoup d'élus puisque votre intervention vient à la suite de celles qu'ont faites auprès de moi, entre autres, Michel Herbillon, Olivier Dosne et Marie-Anne Montchamp. (Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)
La logique de ce dossier est-elle comptable et financière ? Certainement pas : posez la question à Claude Evin, le directeur général de l'agence régionale de santé, il pourra vous le certifier. Par ailleurs, ce n'est pas la loi « HPST », mais le SROS 3, le schéma régional d'organisation sanitaire, qui prévoit le passage de quatorze à dix services de chirurgie cardiaque. C'est aussi simple que cela.
Pourquoi Henri-Mondor ? Non pas parce que cet hôpital est en dehors de Paris, ni parce qu'il est à l'est de Paris, mais tout simplement parce que c'est là que l'activité est l'activité la plus faible. C'est aussi simple que cela.