Aujourd'hui, nous sommes à moins d'un mois de la fin de ce dispositif. Les centres d'hébergement sont pleins. Cela signifie donc que le dispositif régulier ne suffit pas.
Pensons aux personnes qui sont mises à la rue, mais aussi aux bénévoles, aux représentants des associations, qui s'engagent et qui mettent toute leur énergie – étant moi-même sur le terrain, je partage leur inquiétude – pour qu'une partie au moins des sans-abri retrouvent une vie décente et un logement.