En écoutant les propos du président de l'Anocr, je n'ai pas tant relevé les termes de délitement ou de malaise, qu'une volonté, au contraire, de renforcer le lien armée-Nation et de revitaliser l'esprit de défense. Je ne peux – comme nombre de mes collègues, je pense – que soutenir cette démarche : nous serons heureux d'avoir connaissance de ses propositions en la matière.