La France se voit parfois reprocher sa politique de lutte contre le dopage qui, en dépit de son efficacité, a tendance à décourager les instances sportives internationales de lui confier l'organisation de grandes manifestations sportives.
Pour ma part, je reste persuadé que la lutte contre le dopage doit aussi être réalisée auprès des publics les plus jeunes. La prévention doit être une priorité, sachant que, quoi qu'il arrive au plus haut niveau, les contraintes – notamment économiques – sont telles que le culte de la performance, même artificielle, perdurera.
Quelle politique l'Agence française de lutte contre le dopage mène-t-elle pour sensibiliser les jeunes aux risques du dopage ?