Ah ça, c'est plus difficile.
Merci beaucoup, monsieur le président, de me donner la parole au terme de cette longue séance, mais comme presque tous les orateurs ont tenu à rester jusqu'à la fin, c'est bien volontiers que je tenterai de leur répondre.
Monsieur Clément, vous avez à juste titre rappelé ce qui inspire le projet de loi relatif au Défenseur des droits. Ce n'est ni le centralisme bureaucratique ni une quelconque tendance bonapartiste, comme l'a dit M. Dosière.