On peut toujours trouver des justifications, mais il y a, sur ces questions, des responsabilités à prendre et à assumer.
Comme je l'ai déjà dit en commission, il y a une contradiction entre, d'une part, les discours que l'on nous tient continuellement, lors des débats relatifs à la question de la dépendance, sur la nécessité d'aménager la cité et les logements – et, d'une façon générale, la nécessité d'améliorer les conditions de vie des habitants – et, d'autre part, la proposition qui nous est faite aujourd'hui de revenir sur les avancées du texte du 11 février 2005, puisque tel est bien l'objectif de cet article 14 bis.