Monsieur le député, il me semble que l'amendement du rapporteur répond à une partie de votre question. Par contre, pour ce que j'appellerai les jeunes « ordinaires » – pardon de cette expression, mais dans la politique du handicap, c'est le terme que l'on emploie –, vous comprendrez que nous ne soyons pas fondés à vous répondre et à intervenir sur ce registre.