Or nous apprenons aujourd'hui que, au lendemain des déclarations du Président de la République française, le Président mexicain refuse tout transfèrement de Florence.
Le Gouvernement mexicain persiste à violer la convention de Strasbourg et les droits de l'homme. Nous exhortons le peuple mexicain, un peuple ami, à demander à ses dirigeants de faire respecter la parole internationale de cette grande nation.
Madame la ministre d'État, on le sait, Florence a été injustement condamnée par la justice mexicaine ; elle est innocente. Je vous demande de bien vouloir éclairer la représentation nationale sur ce que fera l'État français en ce qui concerne son transfèrement. (Applaudissements sur quelques bancs du groupe UMP.)