Mes chers collègues, chacun a le droit de prendre la parole et je n'ai aucunement l'intention de vous en priver, mais je vous signale que, si vous refaites la discussion générale à chaque amendement, nous ne pourrons pas terminer l'examen du texte cette nuit.
Cette remarque ne vise nullement M. Blisko, qui a renoncé à parler tout à l'heure et qui a maintenant la parole pour soutenir l'amendement n° 200 .