Je me rallie entièrement aux propos du rapporteur. Je voterai donc, moi aussi, cet article.
En dépit de toute l'amitié et du respect que je porte à mes camarades qui se sont exprimés sur ce sujet, j'ai le sentiment d'être confrontée aux mêmes peurs que nos prédécesseurs ont eues lors de la création des CECOS. À cette époque, on parlait de « bébés Nobel », de certaines dérives… Je l'ai souligné précédemment, et je serai donc brève, le fait d'être conscient des problèmes n'empêche pas d'avoir confiance dans la façon dont les choses sont gérées. Nous enregistrons tout de même aujourd'hui une pénurie. Donner ses gamètes n'est pas un geste anodin.
Quelle femme prendra le risque de subir des ponctions, de suivre ce parcours du combattant ? Quand on regarde concrètement comment les choses se passent, ce n'est pas possible.