Je sais bien quel était le texte initial. Je poursuis.
Il a déjà été fait état publiquement de mes positions, qui ne sont pas celles de Xavier Bertrand, mais celles du ministre de la santé que je suis maintenant.
Ainsi que j'ai déjà eu l'occasion d'en parler lors de mon audition, je ne suis pas favorable à la levée de l'anonymat. Le problème est simple, et je ne veux pas reprendre toute la démonstration de M. Leonetti.
En définitive, qu'est-ce qui doit prévaloir, le génétique et le biologique, ou l'affectif et l'éducatif ? C'est un choix.