Je partage la position du rapporteur sur l'article 11 bis. Je suis d'autant plus attaché à ce dispositif que, avec notre ancien collègue Pierre-Louis Fagniez, nous avions passé de nombreuses heures pour convaincre l'Assemblée de l'adopter.
L'expression « bébé du double espoir » est plus adaptée que celle de « bébé médicament », que je n'aime pas.