Pour ma part, je suis plutôt favorable à ce que ce la loi affirme aujourd'hui le caractère pérenne d'un dispositif introduit à titre expérimental il y a sept ans. Cela n'aurait pas vraiment de sens d'en rester au statu quo.
À l'instar du rapporteur, j'estime qu'il faut bannir, une fois pour toutes, une terminologie qui peut laisser penser qu'un enfant n'est qu'un moyen pour guérir un membre d'une fratrie, alors qu'une naissance est, avant tout, un projet parental.