Je n'ai aucune intention de fâcher Bernard Debré ni de contredire ce qu'il a écrit il y a dix ans, mais ce qu'il vient de dire confirme la nécessité d'un débat public sur ces sujets. Nous ne pouvons pas laisser faire, céder à la fatalité. Nous devons, au contraire, essayer de contrôler ce qui ce passe. Sinon, nous laissons le moins disant éthique l'emporter. C'est le sens de l'amendement.
(L'amendement n° 38 n'est pas adopté.)