Quel constat pouvons-nous dresser ? Les chiffres sont implacables et montrent que trop de personnes décèdent par manque de greffes.
Face à cette situation, devons-nous élargir les possibilités de dons ? Il faut faire très attention à nos choix. S'agissant des dons d'organes, il n'y a pas mieux que la loi Caillavet. Aux termes de l'article 2 de la loi Caillavet, « des prélèvements peuvent être effectués à des fins thérapeutiques ou scientifiques sur le cadavre d'une personne n'ayant pas fait connaître de son vivant son refus d'un tel prélèvement. » C'était simple, très simple.