Je n'aime pas l'intolérance !
Je souhaiterais, disais-je, que nous abordions ces problèmes en toute cohérence. Le pire consisterait à le faire de manière disparate, en proposant des solutions qui ne relèvent pas de la même logique. Cela ne rendrait évidemment pas service à celles et ceux qui sont directement concernés.
Surtout, cela ne rendrait pas service à notre société, qui n'attend naturellement plus du législateur qu'il lui indique la morale à appliquer, mais simplement qu'il lui dise ce qui est acceptable du point de vue des principes de la collectivité, lesquels doivent être constamment articulés à une revendication toujours plus forte d'autonomie et de liberté. Et, en ce qui me concerne, j'y vois plutôt un progrès. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)