Cette question, la voici : de qui ?
On ne peut pas à la fois dire que l'enfant doit savoir qu'il est né dans ces conditions – or on le dira nécessairement, et on le lui fera savoir – et lui refuser la connaissance de ses origines. D'autant que celle-ci n'aura aucun effet ni sur la filiation juridique, ni d'un point de vue psychologique (Exclamation sur les bancs du groupe UMP), du moins dans le cas général, puisque la famille se sera constituée autour de ce que nous considérons comme l'essentiel : un lien d'affection et d'amour.
Je souhaiterais donc que nous abordions ces questions de manière cohérente,…