Je veux m'inscrire en faux contre cette approche, qui présente certes l'apparence de la simplicité, et qui aide notamment à choisir, mais qui ne clarifie rien, loin s'en faut.
En effet, comment séparer a priori ces deux types de questions ? Elles ne renvoient en réalité qu'à une seule et même problématique, d'ailleurs récurrente dans nos interventions : la place de l'enfant dans notre société, le rôle fondamental qui lui est accordé, à tel point que la plupart de nos concitoyens ont le sentiment de ne pas avoir réussi leur vie si, à cinquante ans – pour parodier une formule malheureuse –, ils n'ont pas eu d'enfant.