Mais ce débat va prospérer. Les uns et les autres feront connaître leur position. Le Premier ministre a eu l'occasion d'exprimer la sienne ; j'ai donné la mienne à la lumière de mon expérience locale. Je ne suis pas favorable à une hausse de la TVA en vue de créer une TVA sociale, car pour être efficace il faudrait que cette hausse soit de cinq points au moins, l'équivalent de 40 milliards. Notre modèle économique, assis sur la consommation qui soutient la croissance, ne peut pas le supporter aujourd'hui. Nous allons dans la bonne direction en réduisant les dépenses sans augmenter les impôts. (Applaudissements sur plusieurs bancs du groupe UMP.)