Je n'ai pas lu le Figaro. Je constate que les comptes rendus de nos débats sont intégralement rendus publics et j'ai moi-même été victime de critiques extrêmement violentes sur le problème de l'euthanasie. Il n'y a pas eu à ce moment-là de tollé contre ces comportements. Grâce à vous, monsieur le Président, nous avons eu des débats d'une grande tenue. Cette publicité émane d'une association. Ce n'est pas à la Commission de prendre position à son endroit.