Vous jouez à l'évidence un rôle primordial dans le développement du nucléaire : si d'aventure un grave problème survenait en France ou ailleurs, son avenir serait compromis.
En matière de contrôle, vous avez indiqué que les références internationales étaient toujours prises en compte. Or j'ai lu que vos méthodes différaient de celles d'autres autorités de sûreté alors que vous examinez systématiquement une liste de points précis, vos homologues opèrent une vérification globale – ce qui fait parfois prendre du retard à certains programmes, notamment à l'EPR en Finlande. Qu'en est-il réellement ?
Avez-vous une idée des différences entre le taux de disponibilité du nucléaire français et du nucléaire belge notamment – on parle de, respectivement, 75 et 90 % ?
Quel contrôle exercez-vous sur l'ANDRA, en matière tant de sites que d'appels d'offre ?