Dans une période de pessimisme, il faut valoriser les modèles positifs, car on trouve dans tous les secteurs de belles expériences et des innovations. Si l'ampleur de la tâche impose d'agir avec humilité et dignité, je suis frappé comme Guy Malherbe par la multiplicité des intervenants – conseil général, ville, associations, professionnels, bénévoles, aidants et aides aux aidants – qui jouent tous un rôle important dans des situations complexes.
Il ne faut pas fuir la question du financement, mais le problème n'est pas uniquement de trouver des dispositifs moins onéreux. Si l'argent manque, nous innoverons. Sur le fond, nous devons prendre en compte différents critères : le social, la santé, le revenu, l'accessibilité et l'offre technique. Quant à la décision, je ne pense pas qu'elle incombe aux CLIC. Le politique doit définir une nouvelle organisation et un nouveau type de gouvernance.