Les personnes âgées que nous rencontrons – qui sont souvent des femmes locataires, avec des revenus proches des minima sociaux – se plaignent de ce que les propriétaires de leur logement sont réticents à faire réaliser non pas les petits travaux d'adaptation, mais les interventions importantes, notamment à la suite d'infiltrations par la toiture ou les murs. Comment résoudre cette situation qui perdure depuis trente ans ?