Vous avez évoqué, pour le financement d'ASTRID, la possibilité de partenariats avec les Japonais, les Russes et, peut-être, avec les Chinois. Ne craignez-vous pas que, devenus actionnaires, ceux-ci n'en viennent à maîtriser cette technologie et ne se transforment alors en concurrents dont les productions seraient vraisemblablement moins sûres que les nôtres ?
Selon le rapport de MM. Birraux et Bataille, il semble d'EDF veuille faire adopter un projet de stockage souterrain des déchets radioactifs bien moins cher que celui que propose l'ANDRA – 15 milliards au lieu de 35. Quelle est la position du CEA ? Pensez-vous que les contraintes financières doivent primer sur la sécurité en la matière ?