Un accord n'a de valeur que lorsqu'il est financé. C'est trop facile de s'entendre quand le seul partenaire appelé à financer – c'est-à-dire l'État, le contribuable – n'a pas donné son accord.
Nous mènerons cette réforme portuaire jusqu'au bout, car c'est une question d'équité et d'efficacité pour nos ports. Une fois achevée, cette réforme nous permettra en effet de lutter à armes égales avec les autres ports du nord de l'Europe ou du sud de la Méditerranée.