L'effondrement des banques irlandaises tient à ce qu'elles étaient très exposées à l'étranger, notamment en Europe centrale et dans les pays d'Europe de l'Est. Par ailleurs, l'explosion de la bulle immobilière a entraîné une décote de 40 % à 50 % de la valorisation de leurs avoirs immobiliers qu'elles ont répercutée tardivement dans leurs comptes. Les futurs tests seront élaborés, sous la supervision européenne, de façon à prendre en compte, de manière appropriée, le risque systémique.