Défavorable. Loin de nous l'idée de nous désintéresser des armes factices : lors de notre mission d'information – je parle sous le contrôle de Bruno Le Roux –, les témoignages de policiers et de gendarmes nous ont confirmé que des bandes organisées, voire le grand banditisme, recourent à l'utilisation d'armes factices. Toutefois, ces objets, s'ils représentent des armes, ne sont pas des armes. Aussi estimons-nous, tout en partageant votre préoccupation, que votre proposition n'a pas sa place dans le texte que nous examinons ce soir. Je reste cependant ouvert à la possibilité d'engager un travail complémentaire sur le sujet, comme le suggérait Bruno Le Roux.