Nous avons envisagé d'amender le texte, mais il nous a semblé que les dispositions concernées étaient de nature réglementaire plutôt que législative, ce qui fait que nous y avons renoncé.
Enfin, j'ai noté avec satisfaction que le texte allait être repris et amendé. Tous les orateurs s'accordent sur la nécessité de modifier le dispositif actuel, et ce consensus m'inspire deux remarques. D'une part, il me semble qu'une communauté nationale se construit petit à petit, par des gestes chaque jour renouvelés qui donnent le sentiment d'une communauté de destins et d'appartenance – disons-le, le sentiment d'une certaine fraternité. D'autre part, je me permets de recommander que, mardi prochain, nous adressions un signe fort d'appartenance à la communauté, plutôt que de nous perdre dans des détails techniques. En adressant un signe positif à notre société, que l'on dit parfois souffrante, nous pourrions conforter la communauté nationale et lutter contre le communautarisme. (Applaudissements sur les bancs du groupe SRC.)