Entrons dans le détail : il s'agissait de grenades lacrymogènes, d'uniformes de police et de matraques. (Mêmes mouvements.)
À présent, j'aimerais que le parti socialiste, avant de poser de telles questions et d'accuser, comme l'ont fait hier les députés socialistes, le Gouvernement d'avoir autorisé des exportations d'armes en Tunisie – j'ai même entendu parler hier d'armes à feu –, fasse preuve d'un peu plus de prudence et regarde ce qui s'est passé les années précédentes. (Applaudissements sur les bancs des groupes UMP et NC. – Exclamations sur les bancs des groupes SRC et GDR.)