À Abou Dabi, nous avons perdu non seulement la bataille industrielle, mais aussi celle de la sûreté. En effet, selon les informations dont je dispose, nous allons mettre à niveau nos concurrents coréens en matière de sûreté. Ainsi, tout en ayant perdu les emplois industriels, nous leur permettrons de bénéficier de l'expérience de la France en ce domaine.
Dans ce contexte, GDF-Suez, qui est un groupe international prospère, se sent-il faire partie d'un groupe « France » qui repose majoritairement sur la maîtrise publique ? Avez-vous la conviction qu'il faille faire gagner l'équipe France ? Comment organiser la convergence afin d'éviter d'autres échecs ?
Pour ce qui est de l'efficacité énergétique, quelles sont les perspectives d'engagement de GDF-Suez en matière de smart grid ?
Y voyez-vous plus clair que nous dans le marasme actuel du photovoltaïque ? D'excellents rapports ont été remis, mais leurs préconisations n'ont pas été suivies. Le manque de visibilité en France explique-t-il la faiblesse de votre engagement ? Comment voyez-vous l'avenir ?