Monsieur le président-directeur général, je vous souhaite la bienvenue.
La Commission des affaires économiques a lancé une série d'auditions relatives à l'avenir de la filière nucléaire française. Les observateurs avertis ont constaté que le groupe GDF-Suez n'était que peu évoqué dans le rapport Roussely. Pourtant, à la suite de votre fusion avec le groupe International Power, vous êtes devenu le premier énergéticien mondial et le deuxième électricien en termes de capacités de production. Comment expliquez-vous ce paradoxe et quel est, selon vous, l'avenir de votre groupe dans la filière nucléaire ?
Lors de son audition, Mme Lauvergeon, présidente du directoire d'AREVA, nous a fait part de son interprétation de l'échec de l'appel d'offres d'Abou Dabi. Quelle est la vôtre ? Disposiez-vous des capacités techniques suffisantes pour exploiter le réacteur que vous auriez souhaité vendre ?
Quels sont les éléments qui ont prévalu dans la décision de vous retirer du projet d'EPR à Penly ?
Maintenez-vous votre proposition de construire un réacteur ATMEA dans la vallée du Rhône, en collaboration avec AREVA et Mitsubishi ?
Enfin, quelle est votre stratégie nucléaire à l'international ?