C'est faire un bien mauvais procès au rapporteur et à la majorité que d'insinuer que nous nous réjouissons de ne pas avoir les moyens nécessaires au développement du recours au matériel électronique. J'ai déjà eu l'occasion de dire à plusieurs reprises que je considérais nécessaire de recourir davantage à l'électronique. En attendant de disposer des moyens qui nous font défaut pour le moment, et qui doivent être développés, nous n'avons pas d'autre solution que d'utiliser les méthodes prévues par le texte – des méthodes dont, je le répète, l'emploi est parfaitement justifié sur le plan juridique.