Sur le plan juridique, les officiers de police judiciaire amenés à intervenir étant assermentés, je maintiens qu'ils me paraissent tout à fait habilités à prendre la décision de faire réaliser des investigations corporelles internes.
Par ailleurs, sur le plan pratique, imposer une autorisation préalable du juge des libertés et de la détention – ou du procureur – me paraît particulièrement lourd, notamment dans les cas de flagrance, où il est nécessaire d'agir vite.
Je suis donc défavorable à ces deux amendements.