Je ne retire pas cet amendement, car l'expérience et le recul prouvent que l'on a placé en garde à vue des personnes dont la santé n'était pas compatible avec cette situation.
C'est la raison pour laquelle il est important qu'elles puissent arguer d'un certificat médical, établissant qu'il leur est impossible de subir quelques-uns des traitements dont nous avons eu connaissance, et qui étaient totalement incompatibles avec la situation de santé de ces personnes.
(L'amendement n° 156 n'est pas adopté.)