C'est la police nationale, monsieur Goasguen. C'est vrai que Mme Voynet ne fait pas beaucoup de choses (Rires) mais, là, on ne peut pas l'incriminer. Vous êtes injuste avec elle, il faut stigmatiser seulement quand c'est mérité, mais revenons-en au sujet.
C'est une famille d'enseignants, qui n'avait jamais imaginé qu'une telle atteinte à la liberté puisse lui tomber dessus. Pendant près de vingt-quatre heures, elle n'a pas su où était son gamin, tout cela parce qu'il avait pris une rue en sens interdit.
Puisque, visiblement, l'humeur est positive ce soir, monsieur le rapporteur, je pense que nous pourrions, par cette petite mesure, supprimer une zone d'arbitraire et faire mieux reconnaître la légitimité des mesures prises en faisant sauter ce qui est excessif.