Je partage le souci de M. Raimbourg, mais on n'est jamais obligé de mettre quelqu'un en garde à vue : on peut toujours le convoquer le lendemain. C'est d'ailleurs l'objet d'un amendement que le Gouvernement présentera à l'article 11. Aussi pourrions-nous revenir sur cette question à ce moment-là. Je suggère donc le retrait de l'amendement.